Dans son article sur Viti-net, Juliette Cassagnes fait le point de la présence des interprofessions du vin sur les réseaux sociaux:
« Depuis deux ou trois ans, les interprofessions ont donc commencé à investir la place : l’interprofession des vins d’Alsace avec sa page facebook, rassemble 23.500 « fans » et a créé son blog. Les vins de Bordeaux, les plus présents, comptent quatre pages Facebook en plusieurs langues, deux pages Twitter et également un blog. InterRhône a aussi créé sa page Facebook il y a deux ans et compte 1.900 fans. Plus récemment, le Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne (Bivb) avec 2.100 fans, l’interprofession des vins du Sud ouest (Ivso) ou les vins du Centre Loire ont fait de même. »
Ne plus laisser les autres parler à votre place
On le voit bien dans l’actualité récente, les réseaux sociaux sur internet comme Twitter et surtout Facebook ont pris une place très importante dans l’espace de communication. La révolution du vin pourrait bien aussi passer par là car tous les jours des amateurs de vins, professionnels et amateurs, rejoignent les réseaux pour former des communautés autour du même centre d’intérêt.
Les interprofessions ont donc bien compris la nécessité d’investir à leur tour ces espaces de discussion pour prendre part aux conversations et surtout apporter leurs informations aux internautes. En effet, Facebook a connu un tel essor dans le grand public aujourd’hui qu’il y a plus de chance qu’une information soit d’abord vue et partagée sur le réseau social que sur le site web institutionnel.
Le partage rapide des informations engendre la viralité et parfois le buzz
Avant Facebook, on envoyait un mail à ses contacts pour partager une information ou une vidéo. Aujourd’hui, en un simple clic on peut dire à tout son réseau qu’on aime ou qu’on recommande tel article ou tel reportage. Très rapidement les informations circulent de compte en compte et se diffusent dans toute une communauté et parfois au delà quand les medias traditionnels, qui ont des yeux et des oreilles sur les réseaux sociaux, reprennent l’information et l’amplifient considérablement.
On a pu le voir récemment par exemple avec le cas du vigneron Olivier B., qui en un mois a connu une rapide notoriété dans les medias suite à un billet sur son blog, repris d’abord par quelques blogs de passionnés de vin, relayé ensuite sur les forums de vin et les réseaux sociaux pour terminer sa course dans la presse écrite nationale et sur certaines chaînes de télévision.
Lire l’article de Juliette Cassagnes sur Viti Net
Le BIVB sur Facebook:
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